C’est l’un des légumes les plus consommés au monde. Croquant et parfumé, il est en prime pauvre en calories et gorgé de fibres. Vite, au marché.
Un atout mémoire. Comment ? Grâce à la lutéoline (ou lutéolol). Ce composé végétal de la famille des flavonoïdes aide en effet à lutter contre les pertes de mémoire et à diminuer les effets de l’âge sur le fonctionnement du cerveau. Bonne nouvelle, on retrouve aussi la lutéoline dans la carotte, le céleri, l’huile d’olive, le romarin ou encore la camomille.
Le cauchemar des cancers. Notamment de la peau et du côlon. Cette fois-ci, on remercie les capsiates. Ces substances chimiques présentes dans le poivron ou les piments (ils sont de la même famille) agissent contre le développement des tumeurs cancéreuses en favorisant leur apoptose, c’est-à-dire leur suicide !
Il protège de la maladie de Parkinson. La famille des solanacées (poivrons mais aussi tomates, pommes de terre…) est associée à un moindre risque de développer la maladie de Parkinson. Manger des poivrons deux à quatre fois par semaine entraînerait ainsi une réduction de 30 % du risque de Parkinson. Joli score !
L’arthrite ne lui dit pas merci. Parce qu’il est très riche en vitamine C (100 grammes correspondent à près de 100 % des apports journaliers recommandés !). Or, le risque de développer de l’arthrite inflammatoire serait trois fois plus élevé chez les sujets dont l’apport en vitamine C est faible. Raison de plus pour s’en délecter…
Il en met plein la vue. Comme les autres végétaux contenant de la vitamine A, il protège en effet la rétine et favorise une bonne vision, diurne et nocturne. Cette vitamine est en outre nécessaire à une bonne irrigation de l’œil et permet de prévenir la sécheresse oculaire.